Les vœux de pauvreté, chasteté et obéissance
dans la vie du père Lagrange
Disciple de Jésus, le frère Marie-Joseph Lagrange a suivi le Christ, obéissant au Père, pauvre et chaste. Sa prière personnelle dévoilée dans son Journal spirituel le montre toujours tourné vers Dieu et la Vierge Marie dans une attitude d’humilité et de repentir pour ses péchés.
Apôtre à la manière de saint Dominique, il a travaillé sans cesse « pour le salut des âmes » par l’étude, l’enseignement et la prédication.
Les vertus théologales, la foi, l’espérance et la charité, ont dynamisé et orienté toutes ses actions vers le Christ en qui il a trouvé la paix et le bonheur. Les trois vœux d’obéissance, pauvreté et chasteté ont été ainsi vécus par lui dans le mouvement de la grâce.
Plutôt que de s’étendre sur ses vœux en religion, le père Lagrange préférait les vivre. Il se savait chargé de mission par le Christ qui l’appelait à défendre la foi catholique avec les armes de l’exégèse scientifique. Ceux qui l’ont connu ont témoigné de son ardeur au travail. Il n’avait pas de temps à perdre dans son service « pour le salut des âmes », expression des Constitutions de l’Ordre des prêcheurs qu’il chérissait. À ceux qui lui reprochaient parfois un style littéraire imparfait, il répondait : « Le soldat qui combat ne peut s’astiquer pour la revue[1]. »
Une prière de saint Thomas d’Aquin peut illustrer la recherche spirituelle du père Lagrange : « Seigneur, mon Dieu, rends-moi obéissant sans esprit de contradiction, pauvre sans abjection, chaste sans obsession [2]. » Le père Lagrange n’était pas obsédé par les vœux. Son souci permanent était le service du Christ et de son Église.
La Vierge Marie a tenu une place privilégiée dans sa vie religieuse. Il vivait avec la Mère de Dieu. Il aimait inscrire « Ave Maria» en haut des feuilles blanches sur lesquelles il écrivait. La Vierge Marie a vécu l’obéissance de la foi, la pauvreté et la chasteté de manière communicative. Comme aux noces de Cana (Évangile selon saint Jean 2, 1-12), elle continue de présenter les besoins des hommes à son Fils Jésus. C’est pourquoi les Constitutions de l’Ordre des prêcheurs conseillent aux frères de se fortifier « par leur amour filial et leur dévotion envers la bienheureuse Vierge Marie, Mère de Dieu[3] ». Le père Lagrange comptait sur l’intercession de l’Immaculée pour réussir son engagement religieux. D’ailleurs, la formule de profession s’adresse aussi à la Vierge Marie : « Moi, frère N.N., je fais profession et promets obéissance à Dieu, à la bienheureuse Vierge Marie, au bienheureux Dominique[4]… »
Conscient de sa faiblesse, il appelait la miséricorde et la grâce indispensable du Christ. Exigeant et austère pour lui-même, il vivait les vœux comme un don permanent de Dieu.
Lors de la Première Guerre mondiale, en 1914, le père Lagrange doit quitter Jérusalem ainsi que ses collaborateurs. Dans l’angoisse du départ, il écrit son testament spirituel :
« Je déclare devant Dieu que mon intention est de mourir dans la sainte Église catholique, à laquelle j’ai toujours appartenu de cœur et d’âme depuis mon baptême, et de mourir fidèle à mes vœux de pauvreté, de chasteté et d’obéissance, dans l’Ordre de Saint-Dominique. Je me recommande pour cela à mon bon Sauveur Jésus et aux prières de sa très sainte Mère, toujours si bonne pour moi. […] Je veux le dire encore une fois : je suis fils de Marie : tuus sum ego, salvum me fac ! [5] » .
1) Le vœu d’obéissance
Le mot « fidélité » partage son étymologie avec celui de « foi » : fides en latin. La fidélité du père Lagrange trouvait sa racine dans sa foi profonde au Christ. Ceux qui découvrent la vie du père Lagrange remarquent rapidement sa fidélité absolue en Dieu et dans l’Église. Cette confiance filiale s’incarnait dans un engagement total de son intelligence et de son esprit. D’où le rayonnement et la force de son exemple.
Le frère Marie-Joseph s’est toujours montré serviteur disponible et obéissant. En grec le mot « obéir » exprime l’écoute attentive et humble. À l’écoute de la Parole de Dieu, le père Lagrange a toujours cherché à accomplir la volonté de Dieu en suivant les décisions de ses supérieurs. Sa correspondance avec le maître de l’Ordre des prêcheurs révèle son cœur docile en même temps que son exigence de vérité :
« Je suis un peu surpris que vous paraissiez me croire capable de faire imprimer ma Genèse sans votre permission. Grâce à Dieu, une pareille pensée est loin de moi. Je sens douloureusement notre infériorité dans les études critiques, mais je sais très bien qu’on ne remédie à rien dans l’Église en dehors de l’obéissance » (Lettre à maître Frühwirth, 6 février 1899).
Par ailleurs, Pie X avait une grande confiance en maître H.-M. Cormier qu’il considérait comme saint. C’est à travers lui que le pape s’était adressé au père Lagrange : « J’ai lu avec la plus grande attention la belle lettre du père Lagrange, et vous aurez la bonté de lui répondre que j’étais bien assuré de ses sentiments et que je le félicite pour sa pleine soumission » (16 août 1912).
Des interdictions l’ont frappé dans ce qu’il chérissait le plus : la vie à l’École biblique de Jérusalem et la publication de ses recherches en exégèse. Quand, au mois de septembre 1912, il dut quitter Jérusalem par obéissance, au lieu de protester ou de chercher à récolter des signatures en sa faveur, il obéit immédiatement à l’ordre arrivé de Rome par télégramme, comme le montrent ses paroles d’adieu à ses frères et à ses collaborateurs :
« Pas d’amertume et point de défaillance ! Aucun soldat digne de ce nom ne discute l’ordre qui le jette au combat, encore moins peut-il fléchir ou déserter. Ma prière et mon cœur vous sont acquis, mais n’escomptez plus mon aide, sentant assez vous-mêmes que je ne pourrai sans déloyauté vous l’accorder, même indirectement et sans paraître. Si Dieu veut que cette œuvre vive, c’est lui qui la fera vivre comme par le passé ; mais vous ne méritez son assistance qu’à la condition de rester courageux, enthousiastes, surtout vrais religieux et fils soumis d’esprit et de cœur à l’ordre et à l’Église[6]. »
Il a dû attendre, voire renoncer à éditer tel ou tel article. Son orthodoxie n’a jamais été mise en cause officiellement mais, pour des raisons de prudence, des renoncements lui ont été demandés.
« Tout concourt au bien de ceux qui cherchent Dieu », enseigne l’apôtre Paul. Le père Lagrange en était convaincu. Il avouait que l’obéissance et ses contraintes l’avaient conduit à donner le meilleur de lui-même, au-delà de ce qu’il aurait pu faire s’il avait agi en toute liberté :
« L’obéissance m’a fait donner beaucoup plus que je n’aurais donné en ayant libre disposition de moi-même, sans compter le crédit sauveur d’un ordre de théologiens[7] » (Journal spirituel, 15 juillet 1922).
Saint François d’Assise avait composé son Cantique des créatures alors qu’il était devenu aveugle. Saint Jean de la Croix avait rédigé ses écrits mystiques sur la montée vers Dieu alors qu’il était enfermé dans une prison conventuelle par ses propres frères carmes. Devenu sourd, Beethoven avait composé la Neuvième Symphonie.
Il obéissait même quand il se sentait dépassé par les ordres reçus :
« Obéissance joyeuse, sans bouder, mais en laissant la responsabilité à ceux qui la prennent[8] » (Journal spirituel, 30 septembre 1913),
à condition que cela ne contrarie pas la foi ou la morale chrétienne.
Le père Lagrange, âme mystique, a fait l’expérience de Dieu dans les épreuves. Interdit d’enseignement ou de publication, obligé de quitter l’École biblique qu’il avait fondée, mal noté à Rome alors qu’il y avait connu l’amitié de Léon XIII, le père Lagrange a connu ainsi l’union aux souffrances de Jésus Christ dans l’espérance de partager aussi sa gloire.
Les épreuves et les humiliations avaient fait grandir le père Lagrange en humilité. Arrivé au grand âge, il reconnaissait en lui le défaut des vieillards : l’irascibilité. En effet, le temps permet d’accumuler des connaissances. Vient alors le risque de se comparer aux plus jeunes et de les mépriser. Le père Lagrange d’avouer :
« La vie enseigne l’indulgence ; surtout une vie comme la mienne. Que serais-je, ô mon Jésus, si vous n’aviez pas pris le soin de m’humilier[9]! » (Journal spirituel, 15 juillet 1922).
L’Évangile nous apprend que l’œuvre de Dieu passe par la contradiction. Il est plus facile de souffrir pour l’Église que par les membres de l’Église. Le père Lagrange voyait dans les épreuves qui le frappaient un chemin pour grandir en sainteté :
« Dans la vie apostolique et d’études, on croit pouvoir se dispenser de beaucoup de mortifications “à cause des devoirs d’état″. Bien, mais Notre-Seigneur a coutume de compenser cela par des critiques, des blâmes, des injustices du monde et même des religieux : il faut se réjouir qu’il ne nous laisse pas sans croix[10] » (Journal spirituel, 12 avril 1897).
Au lieu de critiquer ceux qui entravaient ses recherches et ses publications, il les excusait, montrant ainsi sa charité. C’était le cas envers le pape Pie X, réservé à son égard :
« J’ajoute que je ne me permets pas de faire un reproche au Saint-Père (Pie X). Il avait ses raisons, supérieures à l’effet produit sur lui par une dénonciation. Le R.P. Yves de la Brière, s.j., me paraît avoir dit le mot juste, point du tout offensant pour Pie X. Ce grand pape a agi dans certains cas comme ces chefs qui proclament l’état de siège ou la loi martiale dans des circonstances où le péril pressant demande des mesures exceptionnelles. Il y avait péril, le pape le savait. C’est à lui qu’il appartenait de rétablir la sécurité générale, quoi qu’il en coûtât à quelques individus[11]. »
2) Le vœu de pauvreté
Homme de foi en la Providence, mystique sûr de l’action de Dieu dans l’histoire humaine, le père Lagrange a mis sa confiance dans la Providence divine. Les conditions de la fondation de l’École biblique de Jérusalem en sont l’exemple le plus parlant. Il savait que les grandes entreprises de Dieu naissent petites. Loin de se décourager face à la pauvreté matérielle ou d’exiger comme condition sine qua non des instruments de travail performants, le père Lagrange met sa confiance en la Providence, comme le décrit le frère Jacques Loew : « Les Supérieurs du Père l’envoient à Jérusalem : quelle joie ce sera de rechercher les traces de Marie à Nazareth ou à Bethléem et d’être comme dans un pèlerinage perpétuel ! Oui, mais le Père est seul, sans argent, sans livres de travail ! Qu’importe : il fonde l’École biblique de Jérusalem. C’est précisément, dira-t-il plus tard,
«parce que c’était inhumain et qu’il n’y avait rien que cela valait la peine de l’entreprendre, parce que c’était Dieu qui le réaliserait[12] . »
Des professeurs pour enseigner ? Le Père les formera lui-même parmi ses premiers élèves. Des salles de cours ? Un abattoir où les crochets à suspendre les bestiaux se voient au mur. Du matériel scolaire ? Une seule table, un seul tableau noir, une seule carte du pays ! Notre plus petite école primaire de France est un palais à côté de cette université naissante. Mais en revanche,
«quel commencement, dit-il dans son discours, avec l’aide de Madame Sainte Marie et de Monseigneur Saint Étienne, dans la confiance que Dieu le veut [13] ! »
Ceux qui ont connu le père Lagrange témoignent de sa pauvreté manifestée dans les petites choses du quotidien. Dans l’Évangile, Jésus enseigne que celui qui est fidèle dans les petites choses l’est aussi dans les grandes, tandis que celui qui se montre malhonnête dans les petites choses l’est aussi dans les affaires d’importance[14].
Le frère Louis-Albert Lassus, o.p., a cité un exemple de l’esprit de pauvreté du père Lagrange prêt à supporter le froid pour favoriser l’économie du couvent : « Je me rappelle aussi qu’en plein hiver, il demanda au père prieur : Croyez-vous qu’il fasse assez froid pour allumer mon poêle[15] ? »
Le frère Maximin-Marie Barrière, o.p., a rapporté aussi un autre beau geste du père Lagrange qui révèle son esprit consciencieux dans la gestion de l’argent commun : « Au retour d’un petit voyage à Montpellier ou à Aix, voulant rendre compte de ses dépenses à son Père Prieur, il lui manquait 25 centimes. Il s’inquiéta beaucoup de cette erreur ; cherchant d’où elle pouvait venir. On en parla entre nous et nous fûmes édifiés de cette préoccupation pour une si petite chose chez un tel homme[16]. »
De son côté, le frère Pie-Marie Roques, o.p., a été témoin du souci du père Lagrange de partager la vie des pauvres : « J’allais le chercher à la gare chaque fois qu’il venait à Marseille faire des conférences (Crypte et Grand Séminaire). Il n’a jamais voulu prendre un taxi. Nous prenions le tram. Faire, comme font les pauvres[17]. »
3) Le vœu de chasteté
Aucun témoin de la vie du père Lagrange n’a relevé des manquements à la chasteté. Il tenait en horreur l’impureté. Novice à Saint-Maximin, il avait écrit dans son journal en plein hiver provençal :
« Vierge Immaculée, ma Mère, je vous remercie de m’avoir amené à vos pieds, revêtu de l’habit que vous m’avez inspiré de prendre il y a sept ou huit ans à pareil jour. Donnez-moi l’humilité, l’esprit de prière, afin que je devienne pur comme la neige tombée ce matin [18] » (Journal spirituel, 8 décembre 1879)[19].
Tout au long de sa vie religieuse il gardera ce même désir d’appartenir à Dieu de manière absolue.
Les Constitutions de l’Ordre des prêcheurs relient la chasteté à la prédication et à l’amitié : « Toujours plus pressés par la charité du Christ, c’est-à-dire par cette amitié divine universelle, ils se feront tout à tous dans leur ministère apostolique ; de plus, dans la vie religieuse et apostolique à laquelle ils sont unis d’un lien plus étroit par la chasteté, ils pratiqueront l’affection fraternelle et une amitié sincère[20]. »
La vie du père Lagrange est jalonnée par des amitiés belles, profondes et fidèles, parmi lesquelles figure celle du frère Louis-Hugues Vincent dont témoigne la dédicace de l’Introduction à l’étude du Nouveau Testament :
« Je prie le Père L.-H. Vincent d’agréer ce livre, non comme un hommage, mais comme une marque d’affection reconnaissante. Ce fut une grande joie pour moi de lui enseigner le peu que je savais, une joie plus grande de le voir devenir un maître, notre maître à tous dans l’archéologie de la Palestine, dont le R. P. Abel est le géographe. Notre amitié naquit aussitôt que nous nous vîmes, à Jérusalem, il y a plus de quarante-cinq ans, et elle fut le lien d’une collaboration qui se poursuivit dans des voyages d’études, des visites de musées, un échange constant de vues sur les objets de nos travaux. L’accord, jamais exigé, n’en était que plus facile, et toutes les nuances personnelles, soigneusement respectées, se fondaient dans la même foi, la même espérance, le même amour de Notre Seigneur Jésus Christ. Nous avons toujours cru reconnaître, à sa douceur, la protection de la Vierge fidèle : c’est grâce à Elle, sans doute, que notre affection, toujours plus forte et plus solide, doit d’avoir conservé le charme des premiers jours, quand deux âmes s’aperçoivent qu’elles sont faites l’une pour l’autre. Que pouvait l’épreuve, sinon resserrer cette entente du cœur et de l’esprit ? Que pouvait l’éloignement, sinon rendre plus sensible notre attachement à l’œuvre commune ? De ces bienfaits, je rends grâce à Dieu[21]. »
Pour le père Lagrange, chasteté rimait avec amitié et affection. Il arrive chez certains religieux que le renoncement à la vie affective et sexuelle tourne à l’aigreur entraînant amertume et agressivité. Il n’en allait pas de même pour le père Lagrange dont l’exquise courtoisie était appréciée de manière unanime.
Fr. Manuel RIVERO, O.P.
Port-au-Prince (Haïti), le 5 novembre 2008.
- L.-H. VINCENT, o.p., « Le Père Lagrange », in Revue biblique, 1938, pp. 321-354.↵
- Propre de l’ordre des prêcheurs. III Liturgie des heures. Sanctoral. Édition typique en langue française adaptée de l’édition latine, et approuvée par le Rme Père Vincent de Couesnongle, maître de l’Ordre. Provinces dominicaines francophones, Paris, 1893, Éditions du Cerf, Paris, 1973, pp. 610-611↵
- Livre des Constitutions et ordinations des frères de l’ordre des prêcheurs, édité par ordre du frère Timothy Radcliffe, maître de l’Ordre. 2000. n°28 [Constitution] § I.↵
- Livre des Constitutions et ordinations des frères de l’ordre des prêcheurs, édité par ordre du frère Timothy Radcliffe, maître de l’Ordre. 2000. n°199[Constitution] §I.↵
- Ces dernières indications religieuses du P. Lagrange, avant de quitter Jérusalem en 1914, ont été confirmées par lui-même le 22 juin 1923 : « Au nom du Père, du Fils, et du Saint Esprit, sous la protection de Marie Immaculée, Mère de Dieu, et de notre Père saint Dominique. Je confirme de toute mon âme mon acte de contrition, de foi, d’espérance et de charité, d’abandon à la miséricorde de Dieu, d’attachement à la sainte Église catholique, et à mes vœux dans l’Ordre de Saint-Dominique. » Le 22 septembre 1936, le père Lagrange notait que cette Déclaration était « à ouvrir après son décès ».
Voir aussi Summarium § 307 Son testament. Témoin 31, Rév. Jacques Loew, (Cop. Publ., IV, pp. 356-371).↵ - Adieux à l’École biblique de Jérusalem, 3 septembre 1912. Summarium, § 305 Espérer contre toute espérance, Témoin 31, Rév. Jacques Loew, (Cop. Publ., IV, pp. 356-371).↵
- Marie-Joseph Lagrange, Journal spirituel, Inédit. Transcription par le Fr. Renaud Escande, revue par le Fr. Bernard Montagnes.↵
- Marie-Joseph Lagrange, Journal spirituel, Inédit. Transcription par le Fr. Renaud Escande, revue par le Fr. Bernard Montagnes.↵
- Marie-Joseph Lagrange, Journal spirituel, Inédit. Transcription par le Fr. Renaud Escande, revue par le Fr. Bernard Montagnes.↵
- Marie-Joseph Lagrange, Journal spirituel, Inédit. Transcription par le Fr. Renaud Escande, revue par le Fr. Bernard Montagnes.↵
- Le père Lagrange au service de la Bible. Souvenirs personnels, Cerf, Paris, 1967, p. 170.↵
- Summarium, § 299 Pèlerinage perpétuel en foi et pauvreté. Témoin 31, Rév. Jacques Loew (Cop. Publ., IV, pp. 356-371).↵
- Summarium, § 300 Confiance en Dieu.↵
- Cf. Évangile selon saint Luc 16, 10. Témoin 31, Rév. Jacques Loew (Cop. Publ., IV, pp. 356-371).↵
- Summarium, § 277 Humilité et patience. Témoin 28, Louis-Albert Lassus,o.p., (Cop. Publ., IV, pp. 314-315).↵
- Summarium, Témoin 2, Maximin Marie (Roger) Barrière, o.p,. (Cop Publ., IV, pp. 127-134).↵
- Summarium, Témoin 4, § 23 Humilité et pauvreté. Fr. Pie-Marie Roques,o.p., (Cop. Publ., pp. 401-405).↵
- Marie-Joseph Lagrange, Journal spirituel, Inédit. Transcription par le Fr. Renaud Escande, revue par le Fr. Bernard Montagnes.↵
- Marie-Joseph Lagrange, Journal spirituel, Inédit. Transcription par le Fr. Renaud Escande, revue par le Fr. Bernard Montagnes.↵
- Livre des Constitutions et ordinations des frères de l’Ordre des prêcheurs, édité par ordre du frère Timothy Radcliffe, maître de l’Ordre, 2000, n° 28 [Constitution] § II.↵
- Marie-Joseph Lagrange, Introduction à l’étude du Nouveau Testament, Quatrième partie, Critique historique. I. Les mystères : L’Orphisme, Livrairie Lecoffre, J. Gabalda et Cie, éditeurs, Paris, 1937, Dédicace.↵
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